Dans "L'Utilitarisme", J. Stuart Mill présente une analyse approfondie de cette philosophie morale fondée sur le principe du plus grand bonheur pour le plus grand nombre.

Mill explore les origines de l'utilitarisme, ses principes fondamentaux et ses implications pratiques pour la prise de décision éthique. L'auteur commence par définir l'utilitarisme comme la doctrine selon laquelle les actions sont bonnes dans la mesure où elles tendent à promouvoir le bonheur ou le bien-être général.

Mill développe ensuite cette idée en examinant les différentes conceptions du bonheur et les critères pour évaluer le bien-être humain. Mill défend l'idée que le bonheur ne doit pas être compris uniquement en termes de plaisir immédiat, mais plutôt en tant que sentiment de satisfaction durable et de réalisation personnelle.

Il souligne également l'importance de considérer les intérêts de tous les individus affectés par une action donnée, et non seulement ceux de l'agent lui-même. En outre, Mill aborde les critiques courantes de l'utilitarisme, notamment celles concernant la possibilité d'ignorer les droits individuels ou de sacrifier le bien-être d'une minorité au nom du bien-être de la majorité.

Il propose des réponses à ces objections et défend la position utilitariste comme une approche rationnelle et éclairée de la moralité. Enfin, Mill explore les implications de l'utilitarisme pour divers domaines de la vie sociale et politique, y compris la justice, la législation et l'éducation.

Il soutient que l'utilitarisme peut fournir un cadre utile pour guider les décisions politiques et sociales, en favorisant le bien-être général et en minimisant la souffrance humaine. En somme, "L'Utilitarisme" de J.

Stuart Mill est un texte essentiel pour quiconque s'intéresse à la philosophie morale et à la théorie éthique. Mill offre une défense convaincante de l'utilitarisme en tant que système moral viable, tout en reconnaissant les défis et les nuances associés à son application da.