Les dépenses et l'incapacité des parents à répondre aux besoins matériels des élèves, notamment en matière d'alimentation, d'habillement, d'hygiène et de fourniture d'équipement et de papeterie, ont sans aucun doute eu un effet négatif sur le moral des élèves, les rendant faibles, jaloux et confus face aux élèves qui disposent de plus de moyens financiers. Leurs efforts et l'expression de leur intérêt pour l'émergence de leurs capacités et de leurs talents ont un effet direct et indirect, et si les étudiants dans ces conditions économiques ont pu acquérir des compétences et changer positivement leur comportement, ils sont une exception et non la règle.

De nombreux criminologues et experts en éducation pensent que les futurs criminels se préparent à commettre des actes criminels derrière ces pupitres d'école. Si les institutions caritatives et les personnes bien intentionnées sont en mesure de répondre aux besoins essentiels des étudiants défavorisés et si le gouvernement est attentif à l'importance d'approuver un budget pour couvrir les frais d'éducation des pauvres, notre société jouira d'une plus grande sécurité et d'une meilleure santé et évitera les anomalies.

La discrimination, l'écart entre les classes et la pauvreté sont évités. .