Dans ces Essais de deux tomes, l’autrice, Maître de l’École Endogène d’Afrique livre le contenu de sa critique sociale et de sa veille Panafricaniste durant une période de deux décennies. Ce qui s’apparente à une grande enquête qualitative de sociologie vient de livrer ses conclusions, et le résultat est stupéfiant : l’État-nation Africain Berlinois n’est pas qu’une supercherie, il est aussi un espace potentiellement dangereux.

Ce premier tome consacré aux malheurs publics dresse un réquisitoire sévère de l’État-nation Africain Berlinois que l'autrice appelle aussi l’Européenne de business devenue la Mondiale de business. Assurément, le tableau est sombre : insécurité aux frontières, conflits armés et rébellions saugrenues, massacres de populations, génocides, viols massifs de femmes, trafics illicites, pratiques mafieuses institutionnalisées, délits d'initiés, prises illégales d'intérêts, tolérance des passes-droits, méconnaissance de la méritocratie, les maltraitances des catégories sociales vulnérables au motif inopérant de sorcellerie.

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Ainsi, au XXIe siècle, la Berlinoise de Business est une source de dangers, de périls et de mort, ce qui en fait un lieu de danger permanent. .