Ce roman a été écrit et déposé en 2010. A quel point il déployait une vision quasi prophétique du phénomène planétaire de santé publique, expérimenté en 2020 avec la pandémie COVID19.

Plus que jamais, il est question de demeurer prudent sur le processus de généralisation de mesures sanitaires, car elles peuvent créer des catastrophes dont l'humanité pourrait ne jamais se remettre. En 2050, on observe une chute drastique des naissances dans le monde entier.

Il s'avère que les femmes ayant participé à la campagne de vaccination contre le papillomavirus deviennent mystérieusement stériles. Seules quelques rares femmes restent fertiles et finissent par être élevées au rang de déesses protectrices des peuples.

Appelées "las Lobas" elles sont choyées et protégées par l'ONU comme patrimoine de l'humanité. La société change radicalement de politque afin de ne plus jouer avec les rares vies qui resteront de cette catastrophe.

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Pendant que toutes sortes d'organisation désintéressées ou lucratives, poursuivent avec ferveur la recherche d'un remède à cette catastrophe, se jouent des intrigues à tous les niveaux des sociétés humaines. .

. Ce roman est un hommage à l'écrivaine psychanalyste Clarissa Pinkola Estes et le terme LOBAS lui est emprunté, car il lui appartient dans sa description des femmes sauvages, dans son ouvrage "Femmes qui courent avec les loups".

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