La corruption a profondément rongé les tissus de la société nigériane. Cependant, la corruption de la police vient immédiatement à l'esprit chaque fois que la question de la corruption est évoquée dans le pays.

Dans cette étude, on s'est efforcé d'examiner la police et les accusations de corruption, en utilisant le commandement de la police de l'État de Rivers comme étude de cas. Les données de l'étude ont été obtenues auprès des personnes interrogées au moyen d'un questionnaire basé sur une échelle de 25-Likert.

L'étude était basée sur une enquête. Une technique d'échantillonnage à plusieurs niveaux a été adoptée pour sélectionner les personnes interrogées dans trois zones de division de la police couvrant les trois districts sénatoriaux de l'État de Rivers.

La taille de l'échantillon pour cette étude était de 200, ce qui représente trente pour cent (30%) des officiers de police en service de la police nigériane, sur une population totale de 652 personnes réparties dans les trois divisions étudiées. Cinq hypothèses nulles ont été testées dans l'étude à l'aide du coefficient de corrélation du moment produit de Pearson (r) au niveau de signification de 0,05.

La conclusion est que la corruption de la police au Nigeria est dynamique et complexe, mais qu'elle n'est pas dépourvue de solution. .