Dans les rues pittoresques de Genève, le 16 juin 1985, une étoile naquit dans le ciel littéraire suisse : Joël Dicker. Issu d'une lignée où les mots étaient chéris autant que l'air que l'on respire, Joël était destiné à écrire son histoire avec l'encre des mots.

Fils d'une libraire passionnée et d'un professeur de français érudit, Joël grandit au sein d'un univers où les livres étaient les compagnons de jeu les plus proches. Inspiré par la richesse de la nature qui l'entourait, il fonda à l'âge tendre de dix ans "La Gazette des animaux", une revue qui captivait les lecteurs par sa passion pour la faune et la flore.

Sa vision précoce lui valut le prestigieux prix Cunéo pour la protection de la nature et le titre honorifique de "plus jeune rédacteur en chef de Suisse". Le chemin de Joël le mena des rues animées de Genève aux salles de classe prestigieuses du Collège Madame de Staël, puis à Paris, où il s'immergea dans l'art du théâtre au Cours Florent.

Mais son cœur battait toujours au rythme des ruelles de sa ville natale. Il retourna donc à Genève pour poursuivre ses études en droit à l'Université de Genève, tout en s'engageant passionnément en tant qu'attaché parlementaire au Parlement suisse.

Cependant, son amour pour les mots ne le quitta jamais. Il tâtonna les sentiers de l'écriture, et sa première incursion dans le monde littéraire, une nouvelle intitulée "Le Tigre", le propulsa sur la scène des jeunes auteurs prometteurs.

Cette étoile montante de la littérature suisse fut couronnée par le Prix des écrivains genevois pour son premier roman, "Les Derniers Jours de nos pères". .