Les groupes d'entraide (SHG) ont joué un rôle important en offrant une "opportunité d'action sociale et d'autonomisation grâce à l'implication des femmes dans l'examen, le traitement et la participation aux questions qui affectent leurs membres et leurs communautés, y compris les questions qui affectent les femmes en particulier" (Murali Krishna, 2014, P. 96).

Le concept de SHG s'est imposé comme une approche majeure du développement et de l'autonomisation des groupes les plus faibles dans le tiers monde. L'entrepreneuriat est devenu l'une des forces motrices de l'autonomisation des femmes.

L'autonomisation des femmes se manifestera si on leur offre des possibilités égales à celles de leurs homologues sur les plans économique, social, politique et professionnel. Elles doivent également être autonomes en ce qui concerne les paramètres de santé.

La présente étude s'est limitée aux femmes socialement défavorisées de SGH appartenant aux municipalités du district de Kurnool. Les femmes entrepreneurs de l'étude ont été limitées à "un membre de l'un des SHG dans la zone d'étude et emploie au moins une femme, avec un investissement minimum de 10000 roupies et plus, n'ayant pas de partenaire dans l'entreprise et ayant exercé l'une des activités génératrices de revenus".

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